En outre, rappelle Jean-Michel Bouchron, vice-président du parlement de l’Otan, "il ne s’agit pas de prendre à ce peuple sa révolution. C’est aux Libyens de se libérer eux-mêmes." "Il ne faut pas oublier qu’une charité un peu trop envahissante peut être vécue comme une humiliation" http://www.france24.com/fr/