Quelque part dans Paris, à une adresse tenue secrète, le Centre d'analyse de lutte informatique défensive veille. Ce lieu, très protégé, est actif 24 heures sur 24. Des sentinelles numériques surveillent les installations informatiques de l'armée, à l'affût de toute tentative d'intrusion. Aujourd'hui, 60 cyber-soldats travaillent au Calid. Ils seront plusieurs centaines d'ici cinq ans. La menace d'une nouvelle cyberattaque est prise très au sérieux.