Il y a des centaines de cadavres de jeunes algériens dans les morgues espagnoles qui attendent d'être rapatriés et enterrés dignement par leurs familles. Zapatero et Berlusconi font profil bas. Ils n'osent pas protester, Gaz algérien oblige. Les corps des centaines de harragas repêchés n'intéressent pas pour autant les médias européens. Au fond (et sans jeu de mots) ce ne sont que des arabes